
L’occasion de profiter de concerts gratuits en plein air. (©Cédric Nithard)
Les Nuits de Sainte-Anne proposent des soirées musicales gratuites et en plein air sur le parvis du conservatoire de Montpellier au pied de la cathédrale Sainte-Anne. L’association de quartier Nouveau Sainte-Anne présentera pour cette 27e édition, huit concerts en balayant tous les registres : du classique au jazz, en passant par le blues, la salsa ou la chanson française.
Rendez-vous sur la place Sainte-Anne dès lundi pour trois soirs (24, 25, 26 juin) avec le Conservatoire à rayonnement Régional de Montpellier, avant de partir pour un voyage musical à travers la planète les 1, 3, 4, 8 et 11 juillet.
Programme
Lundi 24 juin à 20h30 : Conservatoire à rayonnement Régional de Montpellier Méditerranée Métropole
Ensemble à Vent – Direction Olivier Vaissette
Jeune Orchestre Symphonique – Olivier Vaissette
Mardi 25 juin à 20h30 : Conservatoire à rayonnement Régional de Montpellier Méditerranée Métropole
Ensemble à Cordes II – Direction Philippe Mouchon
Orchestre d’Harmonie – Jean Loup Grégoire
Mercredi 26 juin à 20h30 : Conservatoire à rayonnement Régional de Montpellier Méditerranée Métropole
Ensemble de Jazz, Direction Serge Lazarevitch, A. Vilayleck
Ensemble de Guitares, Direction Yann Ipser
Voir la programmation détaillée du Conservatoire pour les Nuits de Sainte-Anne.
Lundi 1 juillet à 21h : Nuit de la Salsa avec le groupe La Yema
De Cuba à Porto Rico, de Saint Dominge à New-York, La Yema est un collectif de musiciens réunis autour d’un répertoire résolument latin et caraibéen. De la salsa à la timba, des thèmes populaires aux musiques improvisées, le groupe vous invite à partager cette passion pour la « sauce latine », riche en saveurs et en couleurs.
Mercredi 3 juillet à 21h : nuit de jazz traditionnel-swing avec l’Orchestre Syncopatique
L’Orchestre Syncopatique est un groupe de jeunes musiciens montpelliérains passionnés de jazz traditionnel. Le quintet choisit de mettre autant en valeur autant le coté vocal qu’instrumental de cette fabuleuse musique et vous plongera d’un morceau à l’autre dans l’ambiance festive des Marching Band de la Nouvelle Orléans, dans un jazz club clandestin durant la prohibition ou bien encore dans un rockin chair sur le perron d’une cabane au fin fond du bayou… de Louis Armstrong au Professor Longhair, voyage dans l’espace-temps assuré!
(Joseph Vu Van : Piano, banjo, chant / Benjamin Faconnier : Trompette, chant / Pierre Bayse : Clarinette / Laurent Simon : Batterie, chant / Olivier Bour : Tuba)
Jeudi 4 juillet à 21h : Nuit de cumbia avec Que Tengo
Que Tengo, c’est l’embarquement immédiat pour un métissage explosif de cumbia moderne et de sonorités afro-caribéennes, une chaleur tropicale qui porte la joie communicative de la chanteuse hispano-marocaine Ámbar. Le quartet montpelliérain s’est produit sur de nombreuses scènes, de France en Égypte en passant par l’Amérique du Sud. C’est d’ailleurs au cours de sa tournée 2017 en Colombie que le groupe a composé son nouvel EP « Colores » : 5 titres bariolés, un arc-en-ciel d’émotions qui résonne comme un hommage aux mille visages de ce pays fascinant. Ce cocktail solaire prend toute sa dimension en live : la complicité et l’énergie des quatre amis font fleurir les sourires et les déhanchés d’un public sous le charme… Découvrir Que Tengo, c’est partir en voyage jusqu’à ce que bonheur s’en suive !
Lundi 8 juillet à 21h : Nuit de jazz avec Iboa Trio
Le trio Iboga est une jeune formation toulousaine. Forte de leurs influences diverses, allant de Shai Maestro à Tigran Hamasyan, ce Jazz est teinté de modernité.
(Paul Lozano : Piano, claviers / Viktor Raynaud : Basse / Tommy Judge : Batterie)
Jeudi 11 juillet à 21h : Nuit de musique du monde avec Aywa
En réactivant les codes issus des musiques traditionnelles (balkanique, hindoustani, gnawa, raï..) et en les combinant avec des influences diverses des courants des musiques actuelles amplifiées et du Monde (Rock, Reggae, Jazz…), Aywa crée un univers particulier, énergique et résolument rebelle. Cette identité musicale est une création où communient avec ardeur saxophone, flûte traversière, guembri, derbouka, tablas, batterie, guitares et basse électrique entrainant la montée en puissance d’un chant envoutant. Tel le cri et l’élan d’optimisme qu’il invoque, Aywa propose un périple incroyable, véritable transe dans laquelle les musiques du Maghreb se mêlent aux autres musiques du monde.