
Le 27 février, Un si charmant garçon a été publié. Le 13 avril, un autre thriller verra le jour.
La preuve par sept ! Avec son thriller Un si charmant garçon, Christelle Rousseau a bouclé son septième ouvrage. La Chaurienne est à pied d’oeuvre en ce début d’année 2019 puisqu’un nouveau thriller est prévu pour avril.
Apparences trompeuses
« Ne pas se fier aux apparences. » C’est ainsi que Christelle Rousseau résume son septième ouvrage.
Ça commence par un petit garçon qui est adorable, mais l’est-il vraiment ? Et un avocat, qui est le mec que toutes les nanas rêveraient d’avoir : charmant, mignon, riche. Mais l’est-il vraiment, lui aussi ?
Sa source d’inspiration ? « Le fils d’une amie. On était ensemble, je l’ai vu trifouiller un insecte, lui enlever les ailes, se souvient-elle. Je m’intéresse à la criminologie. En général, faire du mal aux animaux, ça fait partie de la triade des tueurs en série. C’est parti de ça. »
LIRE AUSSI : Une « discothèque » pour les 40-60 ans… et plus à Castelnaudary
Plus soft !
Christelle Rousseau en sourit : « J’arrive à me faire peur quand j’écris des bouquins. C’est beaucoup plus noir, beaucoup plus trash. Dans celui-là, même s’il y a des passages un peu glauques, je l’ai trouvé un peu plus soft. J’ai été sage. »
L’auteure dévoile une particularité assez originale : elle adore se mettre dans la peau d’un tueur. Elle plaisante :
Je ne le suis pas dans la vie de tous les jours. Quand j’écris mes polars, je me mets plutôt dans les pas du tueur que dans ceux de l’enquêteur. » Christelle Rousseau vise « les personnes qui aiment le polar, les histoires noires.
Un calendrier chargé
Les prochaines échéances arrivent vite pour Christelle Rousseau. Jamais sept sans huit : Le purgatoire de la folie, qui lui est « très très noir », sortira le 13 avril 2019. Entre-temps, l’auteure se rendra au salon du livre à Paris, le vendredi 15 mars 2019, dans le stand d’Évidence édition, son éditeur.
Lire aussi : L’auteur lauragais et ancien flic Patrick Caujolle signe un nouveau polar intitulé Haine noire
Écrire : l’histoire de toute une vie. « Si je ne le fais pas, ça me manque. Je suis toujours avec un bloc parce que des idées, des situations dans la rue, des personnes, ça me donne toujours des inspirations pour des personnages », conclut-elle.
Quentin Marais