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Municipales 2020 : la liste d'Anthony Trifaut, la 2e àMontfort-le-Gesnois, dévoilée

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Anthony Trifaut lève le voile sur les 23 colistiers qui l'accompagnent pour former la liste « Montfort-le-Gesnois2020, la dynamique de demain », aux élections municipales 2020 en Sarthe.

Anthony Trifaut lève le voile sur les 23 colistiers qui l’accompagnent pour former la liste « Montfort-le-Gesnois2020, la dynamique de demain », aux élections municipales 2020 en Sarthe. (©Echo sarthois)

« Montfort-le-Gesnois2020, la dynamique de demain ». C’est le nom choisi par Anthony Trifaut, adjoint sortant de Montfort-le-Gesnois (Sarthe), pour la liste qu’il mène aux élections municipales 2020.

Une liste sur laquelle figurent sept élus sortants et, de fait, 17 nouvelles têtes. Au total, 12 femmes et 12 hommes d’une moyenne d’âge de 49 ans et d’horizons professionnels différents. Des colistiers « motivés, enthousiastes, apolitiques et très impliqués dans la vie locale et associative », aux dires de leur meneur.

Ensemble, ils entendent « rénover et dynamiser » la commune, grâce, disent-ils, « à un projet ambitieux construit autour de l’amélioration du cadre de vie, du développement économique, du vivre ensemble et de la solidarité. Nous voulons construire une commune embellie, une commune attractive et dynamique tournée vers l’avenir. »

Des projets et des actions

Leur programme ? Ils l’ont construit suite à des rencontres sur le terrain avec les différents acteurs économiques de Montfort, mais également en sondant les concitoyens avec un questionnaire dont ils ont obtenu 41 % de retours.

Leur priorité est claire, il s’agira de concrétiser des projets et actions pour les Montgesnois, avec, en toile de fond, l’amélioration de la qualité de vie, des échanges et de la cohabitation, tout en facilitant le développement de la commune avec des services publics de qualité de de proximité.

La revitalisation de notre commune par les commerces et les services, en lien avec la vie associative, sera le sujet prioritaire car il s’agit d’un enjeu majeur de développement économique local et de maintien du lien social. 

Lire aussi : Anthony Trifaut officialise sa candidature à Montfort-le-Gesnois

74 nouveaux logements résidentiels

Anthony Trifaut et ses colistiers proposent ainsi :

D’aménager 74 nouveaux logements résidentiels, de développer nos services et commerces de proximité par la réhabilitation de locaux commerciaux, le réaménagement de la place Notre Dame, l’aménagement du champ de foire en espace de loisirs, commerces et services, et de se distinguer en terme d’ambiance et de convivialité avec une large place faite aux familles, aux jeunes et aux associations.

De même, ils proposeront la création d’une maison des services, un développement des actions du CCAS et la projection d’une résidence adaptée aux personnes non dépendantes.

Les plus jeunes pourront bénéficier d’une aide au financement d’une formation diplômante en échange d’heures de participation dans les associations, la mise en place d’actions de travail sur la commune pendant les vacances scolaires. 

Lire aussi : Fête des Vieux métiers de Montfort-le-Gesnois : un local puis un musée pour l’association ?

Des espaces de loisirs au Pont romain

L’adjoint sortant n’en oublie pas pour autant les familles.

Nous aménagerons des espaces de loisirs sur l’espace du Pont romain mais aussi dans les différents secteurs de la commune en leur proposant d’être décideurs eux même de ces aménagements par l’intermédiaire de la mise en place d’un budget participatif.

Enfin une grande partie de leurs actions sera également « portée sur l’amélioration de la sécurité par l’aménagement d’itinéraires alternatifs sécurisés pour les piétons et les cyclos, la mise en place d’aménagements de voirie sécurisée, l’installation de caméras de vidéo surveillance, et la sécurisation de tous les abris de ramassage scolaires ».

 

Pratique : La liste « Montfort-le-Gesnois2020, la dynamique de demain » organise une réunion publique, le jeudi 12 mars à 20h à la salle Paul Richard.


Gironde. Verdelais : un homme blessé par des tirs de plombs d'un cambrioleur

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Les gendarmes se sont rendus sur les lieux de l'agression à Verdelais (Gironde) et ont ouvert une enquête en flagrance.

Les gendarmes se sont rendus sur les lieux de l’agression à Verdelais (Gironde) et ont ouvert une enquête en flagrance. (©Le Républicain – Illustration)

Ce jeudi 27 février 2020 vers 2h du matin, un habitant de Verdelais (Gironde), près de Langon, est réveillé par un bruit à l’extérieur de sa maison.

Cet homme de 74 ans va à sa fenêtre et, selon les premiers éléments recueillis par les gendarmes, aurait aperçu un rôdeur près de sa voiture stationnée devant la maison.

Lire aussi : Dordogne. 40 armes et 1.500 cartouches… La découverte stupéfiante des gendarmes

Blessé à l’oreille et à la joue

Le septuagénaire aurait alors ouvert la fenêtre pour faire fuir le voleur et aurait reçu un tir de plombs dans la tête.

La victime, légèrement blessée derrière l’oreille et à la joue, a alerté les gendarmes. 

L’individu suspect a pris la fuite.

Les pompiers ont transporté la victime au centre hospitalier Sud-Gironde de Langon. Celle-ci va être entendue par les gendarmes de la compagnie de Langon-Toulenne.

Lire aussi : Gironde. Surpris par un animal, un conducteur braque et renverse son poids lourd dans un fossé

Une enquête a été ouverte en flagrance par la gendarmerie.

Châteaubriant : nouvel appel à manifester samedi après-midi dans la zone Horizon

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manifestation retraites chateaubriant

Un nouveau rassemblement contre la réforme des retraites est organisé à Châteaubriant (Loire-Atlantique), samedi 29 février 2020. (©L’Eclaireur de Châteaubriant)

Dans un communiqué publié mercredi 26 février 2020, l’intersyndicale de Châteaubriant (Loire-Atlantique) composée des unions locales CGT, FO, FSU et Solidaires, la Maison des grèves et des luttes et les Gilets jaunes appellent à manifester, samedi 29 février 2020, contre la réforme des retraites, actuellement débattue à l’Assemblée nationale.

Lire aussi : Réforme des retraites : Edouard Philippe laisse ouverte la possibilité du 49-3

Rendez-vous donné à 15 h à l’Intermarché

Le rendez-vous est donné à 15 h, sur le parking de l’Intermarché de Châteaubriant, zone Horizon.

Nous continuons la lutte contre la réforme des retraites jusqu’à son retrait, explique le collectif. Cette réforme concerne tout le monde et son application, si elle passait , serait néfaste pour tous.

Ce n’est pas une première

L’objectif, c’est de réitérer la journée du samedi 11 janvier 2020. Déjà (et pour la première fois), syndicats, Amicale de la grève et gilets jaunes s’étaient mobilisés et avaient fait front commun contre la réforme des retraites.

Lire aussi : Le chœur Vocadelys chantera à Châteaubriant avant de représenter la France à New-York

L'entreprise de l'Orne Kiplay reçue par le couple Macron à l'Elysée pour la Fashion Week

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Emmanuel Macron et Marc Pradal.

Emmanuel Macron et Marc Pradal. (©DR)

Le monde de la mode avait rendez-vous au Palais de l’Élysée, ce lundi 24 février, veille du lancement de la Fashion Week, qui se déroule à Paris jusqu’au 3 mars.

Lire aussi : Marc Pradal, directeur de Kiplay à Saint-Pierre-d’Entremont, dresse le bilan de l’année 2019

Parmi les invités de ce dîner prestigieux, le « gratin de la haute couture » : Jean-Paul Gaultier, Naomi Campbell, Anna Wintour, rédactrice en chef du magazine américain Vogue, Inès de La Fressange, ou encore Agnès Troublé, alias Agnès B.

Les convives comptaient aussi Marc Pradal, directeur de Kiplay, entreprise spécialisée dans le vêtement professionnel et basée à Saint-Pierre-d’Entremont (Orne), et président de l’Union française des industries mode et habillement (UFIMH). Le chef d’entreprise ornais était invité par son ami et organisateur de la soirée, Pascal Morand, président exécutif de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode française.

Le coronavirus dans l’ombre

Organisé pour la deuxième fois à l’initiative du couple présidentiel, ce « dîner de la création et de la semaine de la mode » met à l’honneur les acteurs internationaux de l’industrie de la mode, à l’aube de neuf jours de défilé.

Lire aussi : Coronavirus : un homme meurt à Paris, après avoir été hospitalisé « dans un état gravissime »

Dans l’ombre de l’événement planétaire faisant de Paris la capitale de la mode, le coronavirus. « La moitié des créateurs présents ne sont pas Français, cela fait de notre Fashion Week un véritable événement international, même dans cette période d’angoisse liée au coronavirus », a déclaré Emmanuel Macron lors de cette soirée, comme le relate le site Fashion Network. Marc Pradal confirme :

« je pense que le président voulait montrer l’attractivité de Paris pour cet événement, qui génère tout de même 450 millions euros de chiffre d’affaires ».

Malgré la situation et le stress lié aux derniers préparatifs, Emmanuel Macron a appelé les convives à « partager quelques instants de détente, d’innocence et d’insouciance ».

Lire aussi : Près de Flers, Kiplay fait l’acquisition de l’entreprise L.I.N

Des jeans offerts au couple Macron

Marc Pradal a profité de la soirée pour approcher le couple présidentiel, un moment immortalisé en selfies.

« Je leur ai offert à chacun un jean Kiplay, montrant notamment à Brigitte Macron la carte figurant à l’intérieur du vêtement pour situer Saint-Pierre-d’Entremont. Elle m’a dit qu’elle portait des jeans tous les week-ends ! C’était un moment très sympa », raconte Marc Pradal.

Lire aussi : La Normandie et les entreprises s’associent pour former les jeunes dans le secteur de la mode et de l’habillement

Brigitte Macron, Marc Pradal et Pascal Morand.

Brigitte Macron, Marc Pradal et Pascal Morand. (©DR)

Parler écologie avec la secrétaire d’État

Le président de l’UFIMH a également échangé avec Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du Ministère de l’Économie et des Finances, et particulièrement Brune Poirson, secrétaire d’Etat chargée de la transition écologique, qu’il avait déjà rencontrée lors d’un événement.

« Nous avons beaucoup discuté du made in France et de l’économie circulaire, pour augmenter les emplois et diminuer la consommation de CO2 notamment. C’est un discours qui lui va très bien puisque son but est de redynamiser les territoires de façon plus durable. La Fashion Pact lancé par le gouvernement vise à réduire les émissions, un enjeu majeur pour le secteur, les clients sont demandeurs d’un mode de consommation durable et nous devons y répondre. »

Il n’a d’ailleurs pas hésité à prendre le made in Saint-Pierre-d’Entremont comme exemple : Kiplay s’engage dans le développement durable, que ce soit dans le made in France ou encore dans le recyclage. L’entreprise ornaise propose cette année à ses clients la valorisation des vêtements usagers, profitant ainsi à l’économie circulaire.

Marc Pradal a également réussi à convaincre la secrétaire d’État d’inaugurer le Salon du Made in France, organisé les 1er et 2 avril prochains à Paris, événement dont il est partenaire. « Je l’ai aussi invité à venir visiter notre usine prochainement », ajoute Marc Pradal.

Il convie J-P Gaultier en Normandie

Lors de cette soirée, Jean-Paul Gaultier était mis à l’honneur quelques mois après l’ultime défilé de sa carrière. Marc Pradal n’a pas hésité à glisser une nouvelle invitation au célèbre créateur.

« Je l’ai convié à assister au défilé Mode et Habillement, organisé à l’Abbaye aux Dames en 2021. Il se souvenait très bien de ma précédente invitation, je lui ai dit que c’était important pour nos jeunes qu’il soit là », poursuit le président de l’UFIMH, dont la mission est aussi la formation auprès des jeunes.

Lire aussi : Jean-Paul Gaultier arrête les défilés haute-couture et se lance dans un nouveau projet

« Une soirée grandiose »

Entre anecdotes avec le couple présidentiel, rencontre de créateurs prestigieux ou jeunes talents, et ministres, Marc Pradal retient « une soirée grandiose ». « Les personnes de la mode sont très prises et très bosseuses. On met parfois du temps à les contacter. Quand on arrive à être proche d’eux, il ne faut pas hésiter à en profiter car ils sont très ouverts à l’échange. Ce genre d’événement est aussi important pour mettre à l’honneur nos métiers », se réjouit-il.

Derrière le souvenir des paillettes et des grands noms de la mode, c’est aussi pour Marc Pradal une fierté de mettre en lumière le savoir-faire de son entreprise familiale.

L’UFIMH en chiffres
– 16,5 millions d’euros
– 2 500 entreprises
– 7,5 millions d’euros d’exportation
– 40 000 salariés en France

Marc Pradal et Jean-Paul Gaultier.

Marc Pradal et Jean-Paul Gaultier. (©DR)

Dimanche 1er mars à Beuzeville, Building, une comédie caustique sur le monde du travail

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Les acteurs de la compagnie havraise Tux Hinor interpréteront la pièce de théâtre  ce dimanche 1 mars à 16 h à la Halle au blé

Les acteurs de la compagnie havraise Tux Hinor interpréteront la pièce de théâtre ce dimanche 1 mars à 16 h à la Halle au blé (© Eveil de Pont-Audemer).

Les acteurs de la compagnie havraise Tux Hinor interpréteront la pièce de théâtre Building, de Leonore Confino, mise en scène par Chantal Lebourg, ce dimanche 1er mars à 16 h à la Halle au blé de Beuzeville (Eure). La représentation de cette pièce sera une étape de travail après deux jours de répétition à la Halle au blé. Cet événement s’inscrira aussi dans un partenariat plus large avec le festival « Paroles, paroles » qui se déroulera du 24 mars au 5 avril 2020.

La fête du bilan annuel

 

Né à Honfleur (Calvados) il y a plus de dix ans, le « festival citoyen » « Paroles, paroles » est une succession de pièces de théâtre mais aussi d’autres spectacles (une vingtaine au total), d’ateliers, conférences, rencontres ou résidences. Les villes de Honfleur et Equemauville mais également de Fatouville-Grestain et Beuzeville en bénéficieront cette année, pour la 12e édition de ce festival.

En attendant, voici ce qui vous attend dans Building. Le « pitch », comme disent certains artistes.

 

Dans le Building, des étages, il n’y en a pas 12, il n’y en a pas 14, il y en a 13 ! Dans Building on mord dans le bonheur à pleines dents : celui du travail en entreprise ! Ce soir, chez « Consulting Conseil », c’est la fête du bilan annuel. Mais en attendant, la journée commence. Tout le monde s’affaire à la tâche qui lui est due : satisfaire les actionnaires ! Building ! Une ascension vers la chute, rythmée par des crashs de pigeons contre les baies vitrées. Une comédie caustique sur le monde du travail, toujours d’actualité.

 

Pratique : Building, dimanche 1er mars à 16 h à la Halle au blé à Beuzeville ; gratuit sur réservation auprès du bureau d’information touristique de Beuzeville, tél. 02 32 57 72 10.

Dimanche 1er mars : carnaval à l'hippodrome d'Yffiniac

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Lors de la prochaine journée de courses à l'hippodrome de la baie, les enfants seront invités à venir déguisés.

Lors de la prochaine journée de courses à l’hippodrome de la baie, les enfants seront invités à venir déguisés. (©Le Penthièvre)

L’hippodrome de la baie, à Yffiniac (Côtes-d’Armor), près de Saint-Brieuc, célèbre carnaval dimanche 1er mars 2020.

Déguisements, maquillage, jeux

L’idée du carnaval, c’est d’associer les courses de chevaux à un spectacle qui s’adresse aux grands comme aux petits. « Il n’y a pas de frontières d’âges pour la beauté. Le cheval éveille les sens, évoque la liberté, il est majestueux lorsqu’il franchit l’obstacle », commente Jacky en authentique passionné.

Le 1er mars, il s’agira d’une première réunion mixte avec quatre courses de trot attelé et quatre courses de haie (dont une de steeple). Spectacle assuré ! 

Les enfants seront pendant ce temps invités à venir déguisés et un goûter leur sera offert. Il y aura aussi sur place un concours de dessins, une séance de maquillage et des jeux en bois.

Marjolie, du PMU, sera présente pour initier les personnes peu ou pas habituées aux courses de chevaux, leur expliquer les règles et répondre aux questions du public.

Dimanche 1er mars, 13 h30, à l’hippodrome de la baie, 5€ / gratuit – 18 ans.

Municipales. Dany Lemétais brigue un deuxième mandat à Fontaine-le-Bourg, en Seine-Maritime

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Dany Lemétais a pris goût à la fonction de maire et se présentera, en mars prochain, pour un second mandat, à Fontaine-le-Bourg (Seine-Maritime).

Dany Lemétais a pris goût à la fonction de maire et se présentera, en mars prochain, pour un second mandat, à Fontaine-le-Bourg (Seine-Maritime). (©Le Bulletin)

Si Dany Lemétais, l’actuel maire de Fontaine-le-Bourg (Seine-Maritime) s’était présenté il y a six ans, plus pour pallier un manque de volontaires pour la fonction que par dessein, c’est cette fois avec une intention affirmée et en toute connaissance de cause qu’il se soumet au vote des électeurs. Les responsabilités, il y a pris goût… le sens du contact il l’avait déjà, tout comme le dynamisme.

Fort de ces qualités, il a élaboré une liste à son image, une liste passée de quinze à dix-neuf par rapport aux dernières élections municipales, le nombre d’habitants ayant augmenté. Entouré de sept anciens colistiers qu’il souhaitait voir repartir avec lui, il a choisi les autres dans la société civile et publique, tous motivés, compétents et souvent jeunes. La moyenne d’âge de l’équipe qui forme sa liste Partageons demain est de 48 ans.

Agrandir le groupe scolaire

De nombreux aménagements ont déjà été menés à bien au cours de son mandat précédent, mais c’est avec l’ambition de réaliser deux grands projets que Dany Lemétais se représente. Le plus important réside dans l’agrandissement du groupe scolaire, car les 220 enfants actuellement scolarisés devraient voir leur nombre passer à 240 à la rentrée prochaine et ils commencent à être à l’étroit. Une quatrième classe de maternelle a ouvert en 2019, une nouvelle en primaire devrait ouvrir en 2020, il y a donc urgence selon lui à penser à une optimisation des conditions d’enseignement pour les élèves et par ricochet pour les professeurs. Les bâtiments de l’ancienne école devront être rouverts en attendant la création de nouveaux locaux.

Construire une salle de sports

Le deuxième projet qui lui tient à cœur est « la construction d’une salle de sports digne de ce nom. » Ces deux « chantiers » seront les plus importants, mais d’autres actions ont déjà été réfléchies. L’aménagement des chemins de randonnée, la sauvegarde des commerces et l’aide à l’implantation de nouvelles structures font partie des sujets à travailler. L’amélioration, en concertation avec l’intercommunalité, des transports en commun, relativement déficitaires sur la commune, mérite d’être étudiée sérieusement dans l’esprit du maire. Le développement de grandes manifestations, en collaboration avec les associations ainsi que la préservation de la ruralité et l’embellissement des rues et massifs floraux n’échappent pas à ses ambitions : « pourquoi ne pas viser la qualification de village fleuri, nous avons une équipe de salariés performants », affirme Dany Lemétais.

Le maire reste disponible pour parler de ses projets aux Bourguifontains et une distribution de flyers devrait avoir lieu prochainement afin que chacun puisse découvrir les noms et les visages de ses colistiers ainsi que l’ensemble des projets.
Dany Lemétais a pris goût à la fonction de maire et se présentera, en mars prochain, pour un second mandat, à Fontaine-le-Bourg (Seine-Maritime).

Amicale des pompiers. Elvis Paris président

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La réunion s'est achevée avec une galette.

La réunion s’est achevée avec une galette. (©Les Alpes Mancelles)

Vingt et un votants au centre de secours des pompiers de Fresnay, pour l’élection du bureau de l’Amicale des pompiers.

Pour des raisons personnelles, Mélanie Ivon, l’actuelle présidente, a décidé de ne pas se représenter. Deux membres du bureau étaient également démissionnaires : Ronan Peltier et Didier Avignon.

Le secrétaire Cyril Brion donnait lecture du bilan moral satisfaisant.

Les projets 2020

 un loto à Sougé le samedi 25 avril et un voyage dont la destination n’est pas encore arrêtée.

Président : Elvis Paris ; Vice-président : Mathieu Geslin ; Secrétaire : Cyril Brion ; secrétaire adjoint : Romain Esnault ; Trésorier : Arnaud Serus ; Trésorier adjoint : Sébastien Lemoine. Membres : Paul Cabaret ; Coraline Peltier ; Brooklin Peltier.

Un nouveau drapeau a été acheté l’an passé, avec une participation de 50 % de la commune de Fresnay.


En Mayenne, deux nouveaux grands excès de vitesse

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Le peloton motorisé de Laval a interpellé deux véhicules en grand excès de vitesse.

Le peloton motorisé de Laval a interpellé deux véhicules en grand excès de vitesse. (©Le Courrier de la Mayenne)

La première semaine des vacances scolaires, les gendarmes de la Mayenne ont interpellé quatre personnes en grand excès de vitesse. Cette semaine,  les militaires du peloton motorisé de Laval ont à nouveau contrôlé deux conducteurs largement au-dessus de la vitesse autorisée.

Plus de 50 km/h au-dessus de la vitesse autorisée

Mercredi 26 février 2020, la vitesse de 133 km/h a été relevée sur la RD20, commune de Bazougers, au lieu de 80 km/h. Le lendemain, c’est à 141 km/h que l’automobiliste roulait sur la RD 1 à Nuillé-sur-Vicoin, au lieu de 80 km/h.

Tous les conducteurs se sont vu retirer immédiatement leur permis de conduire, et leur véhicule ont été immobilisés. Ils seront convoqués ultérieurement devant la justice.

Lire aussi : Tribunal de Laval : sept ans de prison pour violences barbares

À Val-de-Reuil, trois enfants partent à la chasse aux déchets

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Le trio à l'œuvre dans les rues de Val-de-Reuil (Eure).

Le trio à l’œuvre dans les rues de Val-de-Reuil (Eure). (©La Dépêche de Louviers)

Trois jeunes de Val-de-Reuil (Eure), écœurés de trouver des tas de détritus en sortant de chez eux, préfèrent les sorties à caractères citoyennes que de rester enfermés devant une console. Nous les avons suivis lors d’un de leurs périples de ramassage de déchets.

Soan Édeline, Maël Gravy et Yanis Cheval sont trois jeunes rolivalois, âgés de 10 à 12 ans. Nous sommes samedi matin. Équipés de sacs-poubelles, ils ont enfilé leur t-shirt « Ville propre » et leurs gants. Ils sont désormais prêts à partir à la chasse aux déchets dans les rues de la ville.

Lire aussi : À Pont-de-l’Arche, Leny, 13 ans, ramasse les déchets sauvages

Le petit frère de Soan, Antyme, 5 ans, ainsi que ses parents, Stéphanie et David. Les adultes, sont aussi de la partie. Ils sont ravis de les accompagner dans leur démarche : 

Ils sont tellement heureux de participer à ce type d’actions, et nous en sommes tellement fiers, confie la maman. Avec l’aide d’une amie qui travaille dans le domaine, nous leur avons offert à chacun un T-shirt imprimé avec une photo de leur exploit du mois passé, un slogan « Ville propre » et leur prénom à chacun. Je crois qu’on va être obligé d’en imprimer un pour le petit frère car il commence à y prendre goût.

Montrer l’exemple

Bien décidés à montrer l’exemple, les jeunes prennent leur combat à cœur : 

C’est complètement incompréhensible de voir à quel point les gens ne respectent pas leur propre cadre de vie. Par exemple ce coin de notre quartier bien repéré et ciblé avec la mise en place d’un panneau d’interdiction, mais qui est régulièrement envahis d’encombrants. On trouve de tout, et en revenant une semaine après on en retrouve encore. On nous a déjà traités de clochards en nous voyant ramasser les détritus des autres. Au collège aussi on se moque de nous quand on en parle, mais ça ne va pas nous décourager pour continuer.

Derrière un bosquet, Tanis découvre tout à coup un téléphone portable en parfait état. « Il fonctionne peut-être encore ! », s’exclame-t-il.

Il est immédiatement orienté par David Édeline : « J’irai le déposer à la Police car il y a peut-être encore des souvenirs importants pour quelqu’un à l’intérieur. »

Pas de légende enregistrée

À gauche, les trois enfants surpris de découvrir un téléphone portable en état de marche. À droite, la déception face aux dépôts de déchets sauvages. (©La Dépêche de Louviers)

L’aide de la Ville sollicitée

Lire aussi : Municipales 2020 : les deux candidats de Val-de-Reuil s’engagent sur l’environnement et les mobilités

Afin de faciliter les démarches du trio, Stéphanie a pris contact avec les services techniques de la Ville pour demander un soutien logistique :

Ils ne sont pas là pour nettoyer les incivilités des citoyens mais plutôt pour améliorer le cadre de vie, précise-t-elle. Mais pour la sécurité des jeunes, nous aimerions pouvoir trouver une forme d’accord pour se voir prêter un petit chariot porteur comme ceux qu’ils utilisent, ainsi qu’une réserve de sacs-poubelles et de gants. Nous avons déjà eu un très bon accueil lorsque nous avons signalé un tas de détritus à récupérer à l’entrée du quartier.

Les trois jeunes en ont profité pour aller faire un tour dans le nouveau quartier des Noës et de s’arrêter symboliquement rue Écologique : « C’est dommage, car ici c’est tout beau, tout neuf, mais c’est déjà sali comme ailleurs, déplore Maël, l’enfant le plus âgé du trio. Nous aimons notre ville mais nous avons l’impression que ce n’est pas le cas de tout le monde. »

Douceur en hiver, gel au printemps, les cultures ne résisteront pas à la météo de demain en Normandie

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Nobert Jardin, gérant de la pépinière de Fontenermont (Noues-de-Sienne, Calvados), s’interroge sur le devenir des cultures en Normandie.

Nobert Jardin, gérant de la pépinière de Fontenermont (Noues-de-Sienne, Calvados), s’interroge sur le devenir des cultures en Normandie. (©La Voix Le Bocage)

« La nature a un mois et demi d’avance, c’est du jamais vu », constate Norbert Jardin, horticulteur depuis 1992 à Fontenermont (Noues-de-Sienne, Calvados).

« Y’a plus de saisons ! » Ce dicton est entendu dans chaque bistrot dès que la météo fait des siennes en Normandie. Il n’a jamais été aussi vrai que pendant ces deux dernières années. La végétation est le premier témoin à l’échelle humaine de ces bouleversements, elle a d’ailleurs grandement souffert.

Les conifères ont beaucoup de mal à résister. Une cliente en avait un en très bonne santé, de plus de 10 mètres. Trois mois plus tard, il était grillé. »

2019 et 2020 ont connu des hivers très doux où peu de gelées ont été recensées. Soit. Par le passé, dans les années 1990 par exemple, ce fut déjà le cas à maintes reprises. Mais aujourd’hui, le dérèglement climatique s’accélère et formate encore un peu plus et plus rapidement le temps qu’ont connu nos ancêtres. L’impact de l’homme étant irréfutable sur son influence dans le processus d’un réchauffement planétaire.

Lire aussi : Météo. 12 °C au lever du jour en Normandie : 1956, 1985… Où sont nos hivers d’antan ?

« L’hiver le plus doux de l’histoire »

ITK (Intelligence technology knowledge) à Clapiers (Hérault), une entreprise spécialisée depuis quinze ans des services connectés pour la filière agricole, se penche de plus en plus sur les cultures, au sens large, et les répercussions du climat sur ces dernières. Selon Serge Zaka, Dr en agro-climatologie, les résultats des études menées sont « alarmantes ».

D’après Météo-France, l’hiver météorologique (qui comprend les mois de décembre, janvier et février) s’avère très doux sur la métropole avec une anomalie positive de 2,3 °C.

D’après Météo-France, l’hiver météorologique (qui comprend les mois de décembre, janvier et février) s’avère très doux sur la métropole avec une anomalie positive de 2,3 °C. (©Meteo-France)

L’hiver 2019/2020 est le plus doux de l’histoire que la France ait connu. Ce ne sont plus des projections établies par des ordinateurs, mais bien un constat. »

Le paradoxe du gel

En février 2019, les températures ont dépassé les 20 °C sur Caen, Vire, Alençon, il faut remonter très loin dans les archives météorologiques pour retrouver des valeurs similaires. Des records ont été battus.

Et pourtant ce n’est pas cette douceur, mais bien le froid qui va infliger aux pommiers, poiriers, potagers et autres cultures normandes des dégâts irréversibles.

Serge Zaka, docteur en agro-climatologie pour ITK à Clapiers (Hérault).

Serge Zaka, docteur en agro-climatologie pour ITK à Clapiers (Hérault). (©Serge Zaka)

Pour comprendre ce paradoxe, il faut regarder comment fonctionnent les courants et les fluctuations de masses d’air en altitude :

Habituellement, un courant, appelé jet-stream, circule de manière constante au-dessus de nos têtes. Avec le changement climatique, des ondulations se créent dans ce courant. Elles provoquent des poussées chaudes mais aussi des coulées d’air polaire, principalement au cours du printemps. »

On fait donc bien référence au dicton : il n’y a plus de saisons. Du froid au printemps, cela arrive souvent… Rien d’extraordinaire jusque-là. Les Saints de glace en mai sont réputés pour signer les dernières gelées.

Des bourgeons ouverts en janvier

La corrélation induite entre la douceur hivernale et les gelées du printemps provoque un cocktail mortel pour un bon nombre d’espèces végétales en Normandie.

Lire aussi : Manche : ces animaux qui s’adaptent au changement climatique

L’agro-climatologue qui a donné plusieurs conférences à ce sujet notamment au dernier Salon de l’agriculture, s’inquiète :

Un bourgeon protège ses futures feuilles jusqu’à -20 degrés. Ouverts dès janvier avec la recrudescence de la douceur, ils ne peuvent pas résister à des températures inférieures à -2 ou -3 degrés. »

Les bourgeons et la végétation en général, vont souffrir du dérèglement climatique dans les années à venir.

Les bourgeons et la végétation en général, vont souffrir du dérèglement climatique dans les années à venir. (©ITK)

D’ici la fin du siècle, ces gelées tardives ne seront sans doute « plus un problème », selon le chercheur. « Elles auront presque totalement disparu. »

Les techniques de cultures apprissent par nos aïeux devront évoluer. Ces changements de températures, entre autres à travers les différents facteurs météorologiques, devront inciter l’homme à penser autrement. On peut déjà le remarquer aujourd’hui, rien qu’en apercevant un olivier, une espèce d’arbre originaire du sud de la France, à l’entrée de la pépinière de Norbert Jardin à Fontenermont :

Il y a 15 ans, on m’aurait pris pour un fou d’en proposer à la vente. »

Les serres, l’avenir ?

Dans les jardins des particuliers en Normandie, les serres fleurissent à grande vitesse ces dernières années. En verre ou en plastique, ces abris permettent de faire pousser son potager en toute tranquillité face aux caprices du temps. « À partir du 15 avril, même avec une serre non chauffée, il n’y a plus de risque », avance Norbert Jardin, le pépiniériste.

Lire aussi : Dérèglement climatique : océans et zones glacées ravagés, le rapport alarmant de l’ONU

Le seul défaut de cette méthode concerne le goût, comme celui des tomates : En hiver, elles seront remplies d’eau. L’air libre, le soleil… Ces éléments sont indispensables pour garantir une saveur optimale. »

Toulouse. Le pyromane compulsif mettait le feu à des voitures stationnées en centre-ville

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Mis en cause dans quatre affaires d'incendies de voitures et de poubelles en centre-ville de Toulouse, le pyromane présumé a été placé en détention provisoire, jeudi 27 février 2020.

Mis en cause dans quatre affaires d’incendies de voitures et de poubelles en centre-ville de Toulouse, le pyromane présumé a été placé en détention provisoire, jeudi 27 février 2020. (©Illustration/Adobe Stock)

Les caméras de vidéo-protection de la ville de Toulouse l’ont repéré dans le quartier Arnaud-Bernard. C’était dans la nuit de lundi 24 à mardi 25 février 2020, et ce quinquagénaire était manifestement en train de se réapproprier la découverte du feu par l’espèce humaine, il y a plus de 500 000 ans.

Lire aussi : Toulouse. Appartement incendié en centre-ville : le pyromane présumé interpellé grâce aux caméras

Pyromanus erectus

Le problème – mais il était de taille – c’est que l’objet de son expérience était un véhicule qui ne lui appartenait pas, et qui, au final, a été entièrement détruit. La police est intervenue et a interpellé le pyromanus erectus. Mais face à son profil particulier, les enquêteurs ont approfondi leurs investigations. Bonne pioche.

Quelques jours avant les faits, plusieurs poubelles avaient été incendiées à Arnaud-Bernard et Saint-Sernin. Et il y a un an de cela, en février 2019, un véhicule en stationnement avait été détruit par le feu, dans le quartier de la basilique. La façade d’une maison avait également été noircie par l’incendie. Il serait impliqué dans ces quatre affaires.

Lire aussi : Près de Toulouse. Le jeune homme met le feu à une station-service : il échoue en prison

Placé en détention provisoire

Au terme de sa garde à vue, le quinquagénaire compulsif et monomaniaque a été déféré devant la justice en vue d’une comparution immédiate jeudi 27 février 2020. Le renvoi de l’affaire a été actée au mercredi 25 mars.

En attendant, comme une source proche de l’enquête l’a indiqué à Actu Toulouse, le prévenu a été placé en détention provisoire.

Incident sur l'axe SNCF Caen-Rouen : aucun train ne circule en journée ce vendredi 28 février

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Inutile d'espérer un train en gare de Caen (Calvados) pour les passagers à destination de Rouen, vendredi 28 février jusqu'à 18h30. La circulation est interrompue.

Inutile d’espérer un train en gare de Caen (Calvados) pour les passagers à destination de Rouen, vendredi 28 février jusqu’à 18h30. La circulation est interrompue. (©MG)

La circulation des trains est interrompue de 11h30 à 18h30 entre Caen (Calvados) et Rouen (Seine-Maritime), vendredi 28 février 2020. Un soucis technique a poussé la SNCF à suspendre les liaisons entre les deux capitales normandes. L’annonce a été faite en début de matinée.

Le train n°852008 à destination de Rouen, initialement prévu au départ de Caen à 12h08, est supprimé par exemple. Dans l’autre sens, le train n°852058 prévu au départ de la ville seinomarine à 12h07, est annulé. Les gares de Mézidon-Canon, Lisieux, Bernay, Serquigny, Bourgtheroulde, Brionne et Elbeuf Saint-Aubin sont donc également concernées par ces annulations.

Lire aussi : EN IMAGES. Le nouveau train de la SNCF circulera en Normandie pour la première fois lundi

Des bus de remplacement à disposition 

Des bus sont mis à disposition des voyageurs. Ils desserviront toutes les gares, initialement prévues par le trajet des trains. 

Un souci d’installation entre Bourgtheroulde et Elbeuf est à l’origine du problème. Les agents de la SNCF sont sur place pour assurer les réparations nécessaires. 

Municipales 2020 : Jacques Tricard présente la liste "Le Faouët Demain"

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De gauche à droite au premier rang : Thierry Le Gonidec, Thierry Menguy, Jacques Tricard, Marie-Caroline Martin et Sandrine Trébouta. Deuxième rang : Jérôme Colas, Véronique Conan, Brice Le Gonidec, Éric Travaillé, Vincent Boyenval et Ronan Dhabit.

De gauche à droite au premier rang : Thierry Le Gonidec, Thierry Menguy, Jacques Tricard, Marie-Caroline Martin et Sandrine Trébouta. Deuxième rang : Jérôme Colas, Véronique Conan, Brice Le Gonidec, Éric Travaillé, Vincent Boyenval et Ronan Dhabit. (©La Presse d’Armor)

Jacques Tricard, conseiller municipal sortant, a présenté la liste « Le Faouët Demain ». Avec une moyenne d’âge de 47 ans.

Cadre supérieur retraité issu d’un grand groupe français leader mondial dans le domaine de l’environnement, Jacques Tricard notamment mené lors du précédent mandat le dossier de la station d’épuration.

« Nous agirons, explique-t-il, dans la continuité de développement des 2 mandats précédents en mobilisant notre énergie pour obtenir les subventions nécessaires à notre ambition auprès de la D.E.T.R, contrat de territoire, la Région et Bruxelles. Tout en veillant bien sûr à l’harmonie, la convivialité et la qualité de vie de Le Faouët. »

Salle polyvalente et Wi-fi 

Parmi les projets évoqués, une nouvelle salle polyvalente adaptée et un nouvel atelier communal.

L’actuelle salle communale serait réservée aux associations.

« Nous entendons également développer la communication avec un site web actif, une feuille d’information mensuelle et une Zone WIFI gratuite haut débit autour de la Mairie.

Nous apporterons toute vigilance au dossier d’enquête publique du PLUi. Nous étudierons la création d’équipements ludiques et sportifs aux besoins de nos jeunes ».

Le programme est détaillé sur la page Facebook de la liste (Le Faouët Demain). Réunion publique le 7 mars à 11 h.

La liste

La liste est composée de Jacques Tricard (72 ans, cadre supérieur retraité), Thierry Menguy (57 ans, militaire retraité), Vincent Boyenval (35 ans, agent technique), Jérôme Colas (46 ans, chaudronnier), Véronique Conan (52 ans, enseignante), Ronan Dhabit (35 ans, tourneur-fraiseur), Brice Le Gonidec (28 ans, technicien d’usinage), Thierry Le Gonidec (55 ans, boucher), Marie-Caroline Martin (43 ans, enseignante), Éric Travaillé (58 ans, ingénieur du son) et Sandrine Trébouta (41 ans, bibliothécaire).

Les peintres des Fils d'argent, à Gouffern-en-Auge (Orne) exposent ce week-end

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Les peintres en plein travail.

Les peintres en plein travail. (©Le Journal de l’Orne)

Les artistes peintres de l’association Les Fils d’argent s’activent pour terminer leurs toiles en vue de l’exposition qui se tient samedi 29 février et dimanche 1er mars 2020 , dans la salle du restaurant scolaire d’Urou-et-Crennes (Orne).

Lire aussi : Municipales 2020. Laurent Renaudin, maire d’Urou-et-Crennes, candidat… à la retraite

L’exposition est à l’initiative de l’association Les Fils d’argent, créée il y a deux ans par Elyett Souef, qui propose un atelier de peinture. Huit peintres qui travaillent au pinceau ou au couteau présenteront leurs œuvres, dont des aquarelles sur toile et sur papier.

« Chacun apporte ses idées »

Elle indique : 

Nous n’avons pas de professeur. C’est une expression spontanée, chacun apporte sa technique et ses idées, et ça marche ! Parmi les retraités que nous sommes, il y a une femme qui travaille et qui vient nous rejoindre pour se détendre et se changer les idées.

Plus de cent tableaux seront présentés, aux sujets très variés, dont une représentation de la maison de Fernand Léger. Mais le choix des œuvres sera difficile pour chaque artiste, qui devra mettre en valeur son travail et le dévoiler sous son meilleur jour.

Lire aussi : Le musée d’Argentan Fernand Léger – André Mare acquiert un livre du peintre Fernand Léger

 

Pratique. Exposition de peintures de l’association Les Fils d’argent, dans la salle polyvalente d’Urou-et-Crennes, à Gouffern-en-Auge. Ouvert samedi 29 février de 13 h à 18 h et dimanche 1er mars de 10 h à 17 h 30 ; vernissage samedi à 11 h. Entrée gratuite. Contact : 02 33 36 04 56.


Serris. Gad Elmaleh improvise à la Ferme des Communes : les places sont parties en trois heures

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Gad Elmaleh sera à la Ferme des Communes à Serris les 31 mars et 1er avril 2020.

Gad Elmaleh sera à la Ferme des Communes à Serris les 31 mars et 1er avril 2020. (©Archives)

Les mardi 31 mars et 1er avril 2020, la Ferme des Communes de Serris reçoit Gad Elmaleh pour un spectacle d’improvisation autour des thèmes de son prochain spectacle, prévu pour l’automne 2020.

« Dates exceptionnelles » et « tarifs exceptionnels », indiquait le site de la Ferme des Communes. Affichées au prix compétitif de 20€, les 500 places disponibles sont parties en moins de trois heures hier, entre 9h et 12h.

« J’ai choisi la Ferme des Communes de Serris pour improviser autour des thèmes de mon prochain spectacle #workinprogress », annonçait l’humoriste. Les spectateurs l’ont visiblement entendu !

L’humoriste, en rodage pour son futur one man show, tente de se remettre des accusations de plagiat par le blogeur CopyComic dont il a fait l’objet en 2019. Il avait effectivement reconnu avoir emprunté certains passages de ses sketchs à d’autres humoristes. Il promet que cette fois, tout est de lui.

Pour la Ferme des Communes, c’est en tous cas une opération réussie. Elle annonce notamment la deuxième édition de son Festival de l’humour qui aura lieu les 15, 16 et 17 mai 2020. A l’affiche : Gil Alma, Denise, Djimo, Jason Brokerss, Virginie Hocq, Nora Hamzawi et Caroline Vigneaux.

Châteaubriant : un taux élevé de glyphosate détecté dans les urines de 40 pisseurs involontaires

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Les arrêtés anti-glyphosate ont été validés à Nanterre, Bagneux et Malakoff.

Les pisseurs involontaires de glyphosate de Châteaubriant (Loire-Atlantique) ont envoyé leurs flacons d’urine pour réaliser des analyses, le 11 janvier 2020. (©Illustration / Actu.fr)

Le 11 janvier 2020, une quarantaine de pisseurs involontaires de glyphosate de Châteaubriant (Loire-Atlantique) ont envoyé leurs flacons d‘urine pour réaliser des analyses. Objectif : y déceler la présence de la molécule de synthèse.

Un taux 13 fois supérieur à la normale

Selon les participants, les résultats d’analyse révéleraient un taux moyen de glyphosate 13 fois supérieur (1,38ng/mL) à la norme admise dans l’eau du robinet (0.1ng/mL).

L’association Aere (Agir ensemble pour le respect de l’environnement) est à l’origine de la démarche, déjà suivie par près de 6 000 citoyens en France, pour dénoncer la présence dans l’organisme de cette molécule du Roundup. Plus de 5 000 plaintes ont aujourd’hui été déposées pour mise en danger de la vie d’autrui, tromperie aggravée et atteinte à l’environnement. 

Lire aussi : Vaches mortes et éleveurs malades à Nozay : une contamination aux métaux révélée

Un rassemblement vendredi 6 mars à Châteaubriant

Pour poursuivre la démarche, le collectif local invite les habitants à participer au rassemblement anti pesticide « Nous voulons des coquelicots », organisé chaque premier vendredi du mois, partout en France. À Châteaubriant, le rendez-vous est donné vendredi 6 mars 2020, à 18 h 30, devant l’hôtel de ville.

Le rassemblement aura pour objectif de « faire face à la défaillance de l’État jusqu’aux élus locaux face aux pesticides et chercher ensemble comment utiliser ces résultats dans notre secteur ».

Lire aussi : Châteaubriant : nouvel appel à manifester samedi après-midi dans la zone Horizon

Cherbourg : choisir un bijou éthique, le geste qui a du sens

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Beaucoup de poésie et de respect pour l’environnement dans les bijoux de Petite Cassiopéia.

Beaucoup de poésie et de respect pour l’environnement dans les bijoux de Petite Cassiopéia. (©Coraline et Léo)

Tout comme nous pouvons nous poser régulièrement la question de faire des choix éthiques lorsqu’il s’agit de consommer, nous avons voulu en savoir plus à propos des bijoux.

Préserver l’environnement, respecter les personnes qui les confectionnent, prendre en compte les conditions d’extraction des pierres… Autant de critères qui font d’un bijou qu’il est éthique, ou non.

Alors où en trouver près de Cherbourg ? Voici nos coups de cœur.

Petite Cassiopéia

Pauline, cherbourgeoise, travaille le laiton doré à l’or fin 24 carats. Les bijoux sont donc garantis sans plomb et sans nickel. Son doreur qui est situé à Paris travaille dans un processus respectueux de l’environnement puisqu’il retraite toutes ses eaux usées.

De plus, elle fait imprimer ses pochons ici à Cherbourg sur du coton bio. Ses fournisseurs et sous-traitants sont tous français, et elle ne travaille pas de matières plastiques ou issues de la pétrochimie.

Nous avons tous au fond de nous un trésor. Parfois nous le cachons, parfois nous n'en sommes même pas conscient-e-s….

Publiée par Petite Cassiopéia sur Vendredi 21 février 2020

Retrouvez Pauline sur sa page Facebook Petite Cassiopéia

Thérapeuticsea

Jennifer crée ses bijoux à Siouville. Le concept est de récupérer des matériaux destinés à l’abandon en démarchant des entreprises locales et en faisant appel à des particuliers.

Une fois récupérés, les matériaux sont triés et nettoyés avant d’être transformés en création. A partir de ces matières, Jennifer crée des accessoires pour femmes en ciblant également les hommes, pour le plaisir d’offrir.

Ce qui m’anime, c’est de faire revivre des matières destinées à l’abandon. D’améliorer le regard des gens sur le système de consommation et d’encourager le recyclage même dans le domaine de la création.
@Jennifer, TherapeuticSea

Pour ses créations, elle s’inspire de l’environnement qui l’entoure, « l’océan », ce qui donne une touche naturelle, douce et lumineuse

Bonjour petit Monde ☀️***On rêve de chaleur, soleil & coquillage avec ces boucles d'oreilles SUNSHINE✨A découvrir…

Publiée par TherapeuticSea sur Samedi 22 février 2020

Retrouvez les bijoux de Jennifer sur sa page Facebook TherapeuticSea.

Archipels

Bijoux précieux et objets slow made et éthiques faits main à Barneville-Carteret. Ce sont des pièces uniques et séries limitées fabriquées tout près de la mer.

Archipels s’engage à faire le maximum pour fournir des ouvrages fabriqués avec les matériaux les plus « propres » possibles en privilégiant l’utilisation d’argent et d’or recyclés, et d’or labellisé soit Fairmined, soit Fairtrade dans un second choix.

Des alliances sur-mesure pour la Saint-Valentin…? Celles-ci seront aux doigts d’amoureux à partir du 29 février ❤️…

Publiée par Archipels sur Vendredi 14 février 2020

Retrouvez ce magnifique travail sur la page Facebook Archipels.

Et aussi…

Les internautes ont également cité :

  • Missive to Bears : Lucie, artisane pyrograveuse dans le Val de Saire crée des bijoux en bois. 
  • Les Gemmes de Fabiola : elle réalise des bijoux avec des pierres naturelles montées sur de l’acier inoxydable et réalise des gravures sur métal.
  • Indigestes bijoux brodés : fabrication de bijoux brodés entièrement fait main en Normandie.

Lire aussi : Clear Fashion : la nouvelle appli pour savoir si vos vêtements respectent l’environnement

VIDEO. Prix du lait : un couple d'agriculteurs d'Etrelles témoigne dans l'émission "Complément d'enquête"

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Guillaume Barbot est agriculteur à Etrelles

Guillaume Barbot est agriculteur à Etrelles (©Capture d’écran Complément d’enquête)

Guillaume et Aurélie Barbot sont agriculteurs à Etrelles, près de Vitré. Jeudi 27 février, le couple a témoigné dans Complément d’enquête sur France 2. 

L’émission, présentée par Jacques Cardoze, traitait de la loi EGalim. Cette loi vise à faire vivre dignement et à être payés au juste prix, les cultivateurs et éleveurs français.

Lire aussi : Alimentation. Les ordonnances de la loi Egalim font peser des menaces sur le modèle coopératif agricole

Mais finalement, un an plus tard, « c’est la douche froide » indique l’émission qui fait témoigner les deux exploitants de 38 ans qui comptent 80 vaches sur leur exploitation. 

Le prix du lait

Dans ce passage de quelques minutes, le couple évoque notamment le prix du lait. 

Aurélie Barbot, qui a repris l’exploitation de ses parents en 2006, précise : 

Les journalistes sont venus filmer fin janvier et sont restés quelques heures sur l’exploitation. »

L’émission diffuse également quelques images de Lactalis à Vitré.

Leur témoignage est à retrouver à partir de la 24e minute dans le lien ci-dessous

Coronavirus : à Moliens, une famille placée en confinement

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Une famille de Moliens a été confinée suite à un retour d'un voyage dans un pays asiatique.

Une famille de Moliens est en confinement après un voyage dans un pays asiatique. (©Illustration/Adobe Stock)

La prévention est de mise avec la présence du Coronavirus Covid19. Une famille de Moliens (Oise) a été placée en confinement après un voyage en Asie.

A leur retour de vacances, il y a quelques jours, leur enfant a fréquenté le centre aéré de la commune. Les responsables ont appelé toutes les familles pour les prévenir. 

Lire aussi : Coronavirus : le nombre de cas double en 24 heures, l’épidémie arrive en France

Publiée par Préfet de l'Oise sur Mardi 25 février 2020

Interrogé, Philippe Van Ooteghem, maire, indique : 

Nous avons distribué un document de la préfecture de l’Oise pour indiquer aux habitants ce qu’ils doivent faire s’ils ont des symptômes. 

Lire aussi : Coronavirus : une personne hospitalisée à Lille

Lire aussi : Coronavirus dans l’Oise : le collège de Crépy-en-Valois sera fermé pendant trois jours à la rentrée

Lire aussi : La rumeur du coronavirus se propage jusqu’à Neufchâtel-en-Bray

📞 Un numéro d'information régional est ouvert tous les jours de 8h30 à 21h00.Un numéro national d’information est disponible 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 : 0800 130 000.

Publiée par Préfet de l'Oise sur Mercredi 26 février 2020

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