Le département de la Gironde est placé en vigilance jaune vent violent et Littoral Vagues-submersion, ce mardi 25 février 2020. (©Fotolia)

La préfecture de région Nouvelle-Aquitaine relaye le bulletin de Météo France, mis à jour aujourd’hui à 16h et qui met en garde le département de la Gironde, placé en vigilance jaune vent violent ce mardi 25 février 2020 (dès 16h jusqu’au lendemain matin 6h) et également en vigilance jaune Littoral Vagues-submersion (cette nuit à partir de 4h).

⚠️💨🌊La #Gironde est placée en vigilance JAUNE #vent violent (16h) et #vagues submersion (cette nuit 4h).
Soyez prudents lors de vos déplacements notamment sur le littoral.
Suivez l'évolution de la situation sur 👉https://t.co/Qsh6KEQ4CM pic.twitter.com/ayaUMt5opi

— Préfète de la Nouvelle-Aquitaine et de la Gironde (@PrefAquitaine33) February 25, 2020

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Soyez prudent à proximité d’un rivage ou d’un cours d’eau

Le message de Météo France :

Soyez attentif si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique ou à proximité d′un rivage ou d′un cours d′eau. Des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux sont en effet prévus. Tenez-vous au courant de l’évolution de la situation

Pour connaître les coefficients et horaires de marée, consultez le site internet https://maree.shom.fr/

Le mairie de Coubron en Seine-Saint-Denis a décidé de ne plus envoyer les élèves à la piscine de Chelles par précaution sanitaire face au Coronavirus. (©Illustration Adobe Stock)

La menace du Coronavirus plane-t-elle au dessus de l’Île-de-France ? Pas d’inquiétude particulière pour le moment mais la Ville de Coubron (Seine-Saint-Denis) a décidé de prendre des mesures de sécurité.

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En effet, la municipalité de Coubron a annoncé mardi 25 février 2020 « stopper temporairement les déplacements scolaires de nos enfants à destination de cette structure », à savoir la piscine de Chelles (Seine-et-Marne).

« Précaution sanitaire »

Le maire de Coubron, Ludovic Toro (UDI) explique : 

Cette mesure est guidée par un principe de précaution sanitaire que je me dois d’appliquer.

Tout cela s’est décidé à la suite d’un retour de stage d’enfants du club de natation de Chelles en Italie et plus précisément à Pise. La Ville de Coubron a donc interdit l’accès aux scolaires à la piscine de Chelles.

Le maire indique à Actu Seine-Saint-Denis avoir été « informé qu’il y a eu un stage de natation en Italie de la part du club de Chelles donc je ne veux pas exposer les enfants à une éventuelle contamination. Même si je ne sais pas si les enfants partis en stage sont contaminés ».

« Trois semaines minimum »

Au total, près de 100 enfants scolarisés à Coubron n’iront plus à la piscine suite à cette décision.

C’est moi qui fournit les lignes d’eau et les cars. C’est à nous les maires de prendre les décisions. Il n’y a rien en place de la part du ministère de la Santé. Chaque maire prend sa décision et sa responsabilité. On a pas de message direct des autorités donc c’est à nous de choisir. »

Cette mesure sera appliquée pendant « trois semaines minimum » selon le maire. « S’il n’y a pas de cas avéré, on lèvera cette mesure de précaution sanitaire ».

Aucune mesure du côté de Chelles

Ludovic Toro s’insurge qu’il n’y ait pas eu de contrôle tout au long du week-end. « Beaucoup de personnes sont rentrées de vacances et il n’y a eu aucun contrôle ».

Selon nos informations, aucun élément inquiétant n’a été soulevé à Chelles suite à ce retour de stage donc aucune mesure n’a été appliquée.

Ces soirées zen sont désormais proposées dans de nombreux équipements. (©Chronique Républicaine)

C’est la nouveauté de ce début d’année 2020. La piscine intercommunale de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), renommée Dôme depuis l’année dernière, lance sa première soirée zen comme le font de plus en plus d’équipements.

Ambiance musicale et bougies

Organisé le jeudi 27 février de 19h30 à 22h, cet événement proposera plusieurs activités aux participants. Dans une ambiance musicale et visuelle adaptée à la thématique de ce rendez-vous, ces derniers auront accès à 3 ateliers tournant.

Yoga, sophrologie et aqua-posturale

Pour cette première sur le thème du bien être, nous mettons en place un atelier yoga, un atelier sophrologie et enfin un atelier aqua-posturale comprenant des activités dans l’eau, explique-t-on du côté du Dôme. Les personnes auront également accès au hammam et au sauna. »

Pour participer à cette première il est nécessaire d’être âgé de plus de 16 ans et de s’inscrire en amont soit par le biais du site Internet ou directement au niveau du Dôme.

60 personnes au maximum

L’opération de ce jeudi 27 février, prévoit d’accueillir 60 personnes au maximum.

Cette soirée zen s’inscrit dans une nouvelle politique événementielle mise en place depuis la réouverture du site en mai 2019, après avoir bénéficié d’une grosse opération de réhabilitation entamée en novembre 2016 par le syndicat intercommunal gérant le site et regroupant sept communes : Aigremont, Chambourcy, Le Pecq, Le Vésinet, Mareil- Marly, Marly-le-Roi et bien sûr la commune hôte.

Tout comme la première soirée aqua-bootcamp proposée en novembre dernier, cette soirée zen est l’occasion pour le site de proposer des rendez-vous diversifiés au public.

D’autres soirées avec de nouvelles thématiques en perspective

Si cette soirée fonctionne bien, nous envisageons d’en mettre de nouvelles en place autour de thématiques différentes comme la nutrition par exemple. »

Autant de moments permettant par la même occasion au public de découvrir les équipements et les nombreuses activités désormais disponibles.

Pratique

Soirée zen le jeudi 27 février de 19h30 à 22h au Dôme, avenue des Loges à Saint-Germain-en-Laye. Tarif : 12 euros ou pass 10 séances. Nombre de places limitées. Inscription obligatoire. Plus d’informations : contact@dome-78 ou 01 39 04 25 25. Site Internet : www.dome-78.fr

Cette soirée zen s’inscrit dans une nouvelle politique événementielle mise en place depuis la réouverture du site de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) en mai 2019, après avoir bénéficié d’une grosse opération de réhabilitation.

Un salon organisé chaque année par les membres du Lions club (©BCP/LeDémocrate)

Coteaux du Layon, Languedoc, Ardèche, Brouilly, blanc, rouge ou rosé, corsé ou léger, il y en aura pour tous les goûts au 17e salon du vin et de la gastronomie.

Organisé par le Lions club de Vernon, le salon regroupera trente-six exposants venus de différentes régions. Pour déguster les différents cépages, des dégustations d’huîtres et chocolats seront proposées.

L’artisan-chocolatier, Chocolartiste, installée à Evreux, viendra, pour la première fois, rejoindre le salon. L’occasion de faire découvrir ses créations locales. Pour les amateurs de houblon, les bières de Vernon participeront également à l’événement.

Lire aussi : À un mois de Noël, l’atelier de la Chocolartiste d’Évreux tourne à plein régime

Afin d’animer le salon et de promouvoir les différentes régions représentées, les exposants sont invités à porter des costumes locaux. Le plus bel habit sera récompensé par une box cadeau.

Conférences et ateliers

Ateliers et conférences ponctueront le week-end. Trois ateliers autour du chocolat seront proposés le samedi et deux le dimanche. Pierre Rouquié animera une conférence sur les Secrets du terroir, samedi à 15 heures et Gérard Gengembre parlera de l’écrivain Colette et de sa passion du vin, dimanche à 11 heures.

L’année dernière, le salon du vin et de la gastronomie a attiré 1 700 visiteurs. Afin d’éviter le stationnement sauvage autour de la salle du Virolet, les organisateurs ont prévu des parkings (piscine de la Grande Garenne, centre culturel Guy Gambu…) afin de rendre à pied au salon.

Recherche association

Comme toutes les initiatives du Lions club, le salon du vin permet de financer une action. L’année dernière, le chien Nugget’s avait été offert à Lucie, une jeune femme handicapée. Cette dernière sera invitée sur le salon, notamment au moment de l’inauguration, samedi midi.

Cette année, les membres du Lions n’ont pas encore défini leur action et cherchent à aider une association ou une personne handicapée autour de Vernon.

Salon du vin et de la gastronomie, samedi 7 mars de 10h à 19h et dimanche 8 mars de 10h à 18h, salle du Virolet à Saint-Marcel.

Cela fait plusieurs fois que les habitants de Sainte-Scolasse/Sarthe se font siphonner du carburant (Photo d’illustration) (©matteo Fotolia)

Cela se passe toujours la nuit à Sainte-Scolasse-sur-Sarthe (Orne) où l’on ne compte plus les réservoirs siphonnés et les dégradations de véhicules.

Plusieurs personnes ont été la cible de ces méfaits et la colère monte. Roberto Leonardi, a été victime, déjà en 2011, du vol de son camion de pizzas.

Depuis, cela continue, je me suis fait siphonner trois fois le réservoir »

Et ce n’est pas tout,

le boulanger s’est fait arracher le rétroviseur de son véhicule et voler les bouchons des valves. Les voisins ont eux aussi été victimes de ces malfaiteurs ».

Cela continue quasiment toutes les nuits malgré les plaintes déposées en gendarmerie. « La brigade de gendarmerie la plus proche est au Mêle-sur-Sarthe, voir encore plus loin si elle n’est pas de service », explique Roberto, selon qui

Le manque d’éclairage favorise ce genre d’action. Les caméras de surveillance situées dans les intersections ne sont d’aucun secours ».

L’autre nuit, un voisin est sorti avec une lampe « mettant en fuite les malfaiteurs ».

Averti par les riverains, le maire a proposé à Roberto

Un détecteur de présence devant mon domicile. Pour moi ce n’est pas la solution. Seul le rétablissement de l’éclairage la nuit permettrait de dissuader ces individus ».

Plus de solidarité

Roberto s’interroge, « pourquoi ne met-on pas en place le plan Voisins vigilants qui semble bien fonctionner dans d’autres communes ? ».

Le pizzaïolo a le sentiment de ne pas être écouté.

J’invite les victimes ou témoins à donner l’alerte et faire preuve de plus de solidarité au sein du village »

Le pêcheur a été hélitreuillé par l’hélicoptère de la Marine nationale avant d’être pris en charge par le CHU de Brest (Finistère), ce mercredi 26 février 2020. (©Marine nationale)

Le Cross Etel a coordonné l’évacuation médicale d’un pêcheur âgé de 33 ans, ce mercredi 26 février 2020, à 11h04, à 37km au sud de Belle-Île-en-Mer (Morbihan).

Des douleurs thoraciques

La victime aurait violemment chuté sur le bateau « Solitaire II » et se plaignait de « douleurs thoraciques » selon la préfecture maritime.

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Il a été hélitreuillé par l’hélicoptère Caïman de la Marine nationale et pris en charge, peu après 13 h, par le CHU de Brest (Finistère).

[#Opération] A 11H04, #CROSSEtel coordonne #EVAMED d'un marin pêcheur du fileyeur français LE SOLITAIRE II à 20 Nq (37 km) au Sud de #BelleÎle (56) par hélicoptère Caïman @MarineNationale basé à Lanvéoc (29). Blessé hélitreuillé à 12h56, pris en charge à 13h20 @CHRU_Brest. pic.twitter.com/cHb2R3tT5W

— Préfecture maritime de l'Atlantique (@premaratlant) February 26, 2020

Le match du Tournoi des 6 Nations 2020 entre l’Irlande et l’Italie est annulé. (©Icon Sport)

La menace planait, c’est désormais officiel : Irlande-Italie est annulé. La Fédération Irlandaise de Rugby l’a annoncé mercredi 26 février, soulignant qu’en raison de l’épidémie de coronavirus qui frappe actuellement l’Italie, le match prévu le 7 mars prochain à Dublin ne devait pas se dérouler.

Lire aussi : 6 Nations. Un match annulé va-t-il priver Sergio Parisse de sa sortie rêvée avec l’Italie ?

La Fédération Irlandaise s’est réunie ce jour avec le ministre de la Santé, Simon Harris, et la décision a été prise d’annuler la rencontre « dans l’intérêt de la santé publique ». « Nous allons immédiatement commencer à travailler avec nos partenaires des Six Nations pour étudier la possibilité de reprogrammer le match et nous espérons avoir une mise à jour à ce sujet dans les prochains jours », peut-on lire dans le communiqué de l’IRFU.

A noter que les matches des Féminines, mais aussi des U20 entre les deux nations sont également annulés .

#shouldertoshoulder

Ireland's @SixNationsRugby matches v Italy are off.

We will immediately begin to work with our Six Nations partners to look at the possibility of rescheduling the matches and would hope to have an update on this in the coming days.https://t.co/80ByyvOd3E

— Irish Rugby (@IrishRugby) February 26, 2020

Italie-Angleterre aussi annulé ?

Les organisateurs du Tournoi des 6 Nations suivent le dossier de très près, et demeuraient inquiets quant à la tenue de certains matches lors des deux dernières journées du Tournoi des 6 Nations. Un temps, il avait été prévu que les supporters italiens ne fassent pas le déplacement à Dublin, afin de limiter l’expansion du coronavirus. Le match est finalement reporté.

Lire aussi : Tournoi des 6 Nations 2020. Deux matches reportés en raison du coronavirus ?

Une menace plane sur Italie-Angleterre, prévu le 14 mars prochain à Rome. On ne voit pas désormais comment cette rencontre pourrait être maintenue. Le week-end dernier, Italie-Ecosse chez les Féminines avait été annulé. Le coronavirus a déjà fait onze morts en Italie à ce jour.

Les membres de la liste (absents : Catherine Costard et Cécile Cantin).

Nicolas des Mazis conduit la liste « Ensemble et solidaires pour Mont-Dol 2020 » en vue des élections municipales de mars 2020.

« Depuis de nombreuses années, notre commune connaît une évolution négative qui se traduit par une perte de commerces et une diminution sensible de la population », regrette Nicolas des Mazis, partageant ce constat avec son équipe entièrement, ou presque, composée de nouveaux venus en politique, hormis Charles Bourdais, maire du Mont-Dol de 2001 à 2008.

La liste

Nicolas des Mazis, 63 ans, cadre agricole retraité. Pascale Chatton, 60 ans, employée de la fonction publique, Charles Bourdais, 75 ans, cadre retraité de l’équipement. Danièle Gingast, 62 ans, employée de commerce. Thierry Allard, 60 ans, auxiliaire de vie. Patricia Communier, 61 ans, agent de service dans la fonction publique. Sébastien Rio, 30 ans, agent de maîtrise agricole. Cécile Cantin, 37 ans, commerçante. Jean-Claude Fautre, 72 ans, mathématicien. Florence Gaumont, 45 ans, mère au foyer. Dominique Dangaly, 60 ans, chauffeur routier. Sylvie Le Bihan, 42 ans, auxiliaire de vie. Daniel Vizet, 56 ans, sophrologue. Virginie Simonpiétri, 28 ans, employée d’agence de voyages. Daniel Étiennenoul, 33 ans, mytiliculteur. Catherine Costard, gérante de chambres d’hôtes. Pierrick Patin, 56 ans, carreleur.

Des fuyards ont été interpellés lors d’une impressionnante opération de police à Lille, mercredi 26 février 2020. (©DR/Photo envoyée par un lecteur)

Impressionnant déploiement de forces de l’ordre à Lille, mercredi 26 février 2020. Dans l’après-midi, de nombreux véhicules de police se sont déployés dans le quartier du Port de Lille pour interpeller des fuyards qui pourraient être suspectés d’un vol voire d’un braquage.

Lire aussi : À Lille, un témoin pense voir un terroriste, c’était en fait un joggeur

Une voiture fonce sur un fourgon de police

À proximité de la station de métro Port de Lille, vers 14 h 30, de nombreux fourgons de police, sirènes allumées ont convergé. La circulation au niveau de la rue de Turenne a été coupée. Sur place, nous avons constaté la présence d’un véhicule gris, la plaque d’immatriculation masquée par du scotch, qui a visiblement heurté un fourgon de police.

D’après un témoin, les véhicules de police poursuivaient la voiture grise lorsqu’elle a été stoppée dans sa course. « Là, des gars sont descendus de la voiture et ont pris la fuite dans la rue, mais ils ont été interpellés dans un jardin privé juste à côté », relate ce témoin. Des policiers se trouvaient en effet dans un jardin voisin lors de notre arrivée sur place, tandis que leurs collègues effectuaient des constatations sur le véhicule gris. 

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D’après les premières informations que nous avons pu recueillir, les fuyards seraient suspectés d’un vol, voire d’un braquage. Nous n’avons pour l’heure pas de confirmation officielle de cette information. Des vérifications et une enquête sont en cours. Ce qui est sûr en revanche, c’est que l’interpellation n’a pas manqué d’attirer l’attention dans le quartier. D’après notre témoin, « c’était vraiment impressionnant ! ».

• Plus d’informations à venir sur Lille actu.

À l’issue d’un match aller accroché et serré, le Stade pontivyen B était sorti vainqueur (3-2) face à Noyal-Pontivy. Qu’en sera-t-il ce dimanche 1er mars pour le derby retour ?

Noyal-Pontivy (Morbihan) accueille le Stade pontivyen B ce dimanche 1er mars 2020 dans le derby du championnat de R2. Les Moutons blancs visent le maintien, les Stadistes veulent figurer au top 4. 

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Jouer libéré

Les Moutons blancs noyalais accueillent le Stade pontivyen B ce dimanche 1er mars 2020, en championnat de R2. Si ce derby ne revêt pas une pression immédiate du résultat, il est intéressant et important pour le reste de la saison dans les objectifs opposés : le maintien pour Noyal, le top 4 pour le Stade pontivyen. Comme le dit Jérôme Michel, l’entraîneur pontivyen :

Noyal peut souffler un peu pour son maintien. Les deux équipes vont pouvoir jouer libérées.

« Celle qui en voudra le plus remportera la mise par rapport à l’absence de compétition et l’état du terrain », selon Philippe Herpe, l’entraîneur noyalais. Et d’ajouter : « On aime jouer les derbys. On veut continuer à avancer. Nous serions ravis de gagner ». La détermination est identique chez le voisin. « On veut vraiment gagner pour accrocher le podium, faire la passe de quatre en restant invaincu contre eux depuis deux ans. Il ne faut pas passer à côté. »

Momo, l’homme du mois

Les deux coachs connaissent les points forts de l’adversaire. « Une équipe tonique, dynamique, talentueuse avec beaucoup d’allant offensif et des jeunes qui percent », dresse Philippe Herpe à propos du Stade.

Quant à Jérôme Michel sur Noyal, « leur capacité à bien gérer les coups de pied arrêtés et Momo (Ndlr : Alexandre Maurice), l’homme en forme du dernier mois. Mais je suis persuadé qu’en restant concentré, on arrivera à faire la différence ».

Son homologue lui répond : « tout est possible sur un match, peut-être encore plus dans un derby ! On l’attend avec plaisir ».

Enfin, laquelle des deux dynamiques se prolongera au détriment de l’autre ? À Noyal, « nous restons sur trois victoires lors des quatre derniers matchs. C’est un bon révélateur pour savoir si on est capable d’enchaîner ». Au Stade, « on veut garder une dynamique positive et reproduire les valeurs affichées à Bignan et contre Guer ».

Infos pratiques
Dimanche 1er mars 2020, à 15 h 30, au stade Yves-Le-Moullac à Noyal-Pontivy (Morbihan), MB Noyal-Pontivy-Stade pontivyen B.

300 personnes se sont rassemblées à Val-de-Reuil (Eure) pour protester contre l’annonce de la fermeture du laboratoire de recherche Janssen-Cilag. (©La Dépêche de Louviers – YL)

Le rendez-vous était fixé ce mercredi 26 février 2020 devant le site de Jansenn-Cilag à Val-de-Reuil (Eure). Près de 300 personnes, employés, syndicalistes et élus, se sont réunies pour afficher leur soutien suite à l’annonce de la fermeture du laboratoire de recherche pharmaceutique.

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Autre objectif pour les manifestants : protester contre les raisons économiques invoquées par la direction du groupe, propriété du géant pharmaceutique Johnson & Johnson, pour justifier cette réorganisation qui menace directement 42 emplois.

« Plus stratégique qu’économique »

Cyril Harang, délégué syndical UNSA sur le site de Val-de-Reuil, explique :

On a un pôle de recherche performant et on décide du jour au lendemain de fermer ce centre. Rien ne prouve l’économie de ce projet. C’est plus stratégique qu’économique. Nous sommes dans une société qui ne vit que pour le bénéfice.

L’inquiétude règne également autour de l’avenir du centre, appelé à devenir uniquement un pôle de production une fois le laboratoire de recherche fermé.

Ce qu’on espère, c’est pouvoir sauver les 42 emplois de nos collègues. On souhaite aussi alerter sur la fuite de nos cerveaux à l’étranger sous prétexte de rentabilité. 

Début des négociations

Alors que les négociations entre la direction et les partenaires sociaux débutaient ce mercredi matin, aucun accord n’a pour l’instant été trouvé.

La principale revendication des syndicats ? Obtenir des garanties quant à la pérennité du site sur lequel travaillent plus de 460 salariés.

Les élus locaux se sont joints aux manifestants devant les grilles du site de Janssen de Val-de-Reuil (Eure). (©La Dépêche de Louviers – YL)

On veut faire comprendre à la direction qu’il ne s’agit pas uniquement de 42 personnes. Aujourd’hui on est très inquiet. Car le fait de perdre la recherche peut engendrer un problème de compétitivité du site et déboucher sur un PSE (Plan de Sauvegarde de l’Emploi NDLR) qui serait cette fois justifié mais monté de toutes pièces suite à ce projet de réorganisation. 

Une inquiétude partagée par Virginie Poncelet, employée de Janssen-Cilag à Val-de-Reuil.

Tout ce soutient fait chaud au cœur, réagit-elle les larmes aux yeux. Il n’y a pas vraiment d’espoir que la direction fasse machine arrière mais ce que l’on veut désormais, c’est se battre pour tous les salariés à qui il pourrait arriver la même chose dans le futur.

La fermeture du laboratoire est prévue pour le mois de juin 2020. 

La liste conduite par Nelly Fourquet est baptisée « Une ambition pour Baud ». (©La Gazette du Centre Morbihan)

La liste citoyenne « Une Ambition pour Baud » conduite par Nelly Fourquet, regroupe des personnes d’origines et de professions diverses, des candidats motivés, enthousiastes, qui représentent tous les quartiers de Baud. La moyenne d’âge est de 43,5 ans.

Deux hommes de 19 et 24 ans ont été condamnés à 6 et 12 mois d’emprisonnement. Il leur était reproché 41 vols dans la région de Plancoët, près de Dinan (Côtes d’Armor). (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

C’est une histoire d’amitié qui a commencé sur le quai de la gare de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), quand un jeune homme, habitué d’un squat de la cité corsaire, a raté son train, et qu’un autre, qu’il ne connaissait pas, lui a proposé de l’héberger.  Mais l’histoire a fini devant le tribunal.

Le système était bien rodé

Les deux amis, âgés de 19 et 24 ans, sont mis en cause pour 41 vols dans les environs de Plancoët, près de Dinan (Côtes d’Armor), Plancoët où vivait un des voleurs.

Entre octobre 2019 et janvier 2020, ils ont sévi dans des véhicules, ou des maisons, toujours la nuit entre 5 et 6 h du matin.

Lire aussi : Vols en série sur le secteur de Plancoët : les auteurs demandent un délai pour préparer leur défense, un receleur condamné

Parfois il fallait même escalader des murs pour atteindre des véhicules garés dans les cours privées. Le système était bien rodé, presque méthodique, et le prévenu de 19 ans avait eu le temps de s’exercer à Laval (Mayenne) où il avait déjà sévi.

Avec son colocataire, ils dérobaient des objets qui pouvaient être vendus ou de l’argent liquide.

Les enquêteurs et parfois même les victimes ont retrouvé plusieurs des objets volés dans une enseigne de revente ou sur internet : des téléphones, lecteurs MP3, des vêtements, des chaussures de marque, et même une cinquantaine de bouteilles de vin.

« On est loin des vols de nécessité invoqués lors de la première audience », a fait remarquer la présidente.

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Retrouvés grâce aux caméras des habitants

« Ces séries de vols ont créé l’émoi dans la population locale », explique le Procureur de la République :

« De nombreux habitants ont installé des caméras, et c’est ainsi que l’on a pu reconnaître deux individus. »

Lors de la perquisition à leur domicile, plusieurs objets ont été retrouvés.

Déjà condamnés

À l’audience où ils comparaissaient libres au tribunal de Saint-Malo le vendredi 21 février, les deux garçons placés sous contrôle judiciaire depuis le 17 janvier reconnaissent les faits.

L’un a 24 ans, est sous curatelle renforcée, déjà condamné pour agression sexuelle sur mineur, il s’apprête à faire un stage en tapisserie.

« Si j’ai encore une peine ça va me détruire le moral », dit son compère de 19 ans, un Lavallois qui a par le passé commis un vol à main armé.

Lire aussi : A Dinan, huit mois de prison ferme pour le conducteur ivre…un peu trop souvent

Condamné à 6 et 12 mois d’emprisonnement

Le premier a été condamné à 6 mois de prison assortis d’une peine de travail d’intérêt général de 210 heures. S’il ne l’effectue pas ou s’il n’indemnise pas les victimes, il sera incarcéré pendant 6 mois.

Le second a été condamné à 12 mois d’emprisonnement.

Ils devront solidairement indemniser les victimes qui n’étaient pas présentes à l’audience, à hauteur de 1 400 €.

Les deux hommes sont repartis libres du tribunal.

Les cigognes sont déjà de retour dans les marais de Guenrouët (©L’Echo de la Presqu’île)

Les cigognes sont de retour dans les marais du Gué à Guenrouët (Loire-Atlantique). 

Elles sont plus d’une dizaine à avoir fait leurs nids sur quatre pylônes électriques. Pourtant les habitants du village leur avaient fabriqué une haute plate-forme, plus confortable.

A Guenrouët, elles trouvent une nourriture abondante dans les marais pour elles et bientôt leurs petits.

Les oiseaux avaient quitté le département fin août pour migrer vers l’Espagne ou l’Afrique. Elles reviennent généralement vers le mois de février pour construire ou consolider un nid. 

Les cigognes préfèrent les pylones électriques à la plateforme spécialement aménagée pour elles (©L’Echo de la Presqu’île)

Liste « Une ambition nouvelle pour Saint-Quay-Portrieux ». Absents de la photo : Gilles Bruand, Charlotte Melman, Blandine Bachollet-Lionnet, Caroline Blanchard, Gislaine Caignon-le blanc, Pierre Chadirac et Christine Fercoq. (©La Presse d’Armor)

Hervé Huc, conseiller municipal depuis 2014 à Saint-Quay-Portrieux, milite pour retrouver une vraie démocratie locale et réaliser des projets qui tiendront leurs promesses.

Aujourd’hui ça suffit !

S’exclame-t-il.

Il propose d’élire une équipe prête à se consacrer à la commune de Saint-Quay-Portrieux, et à ses habitants.

Réunion publique le 6 mars

Une ambition nouvelle de retour au dialogue et une écoute qu’il qualifie « d’aujourd’hui disparue ».

Une réunion publique se tiendra au le vendredi 6 mars, à 18 h 30, au centre de congrès.

Liste déposée : Hervé Huc, 51 ans, chef d’entreprise ; Anne Bertrand, 63 ans, cadre éducation nationale ; Bruno Girard, 65 ans, retraité la poste ; Aurore Macquart 50 ans, assistante sociale ; Albert Vasselin, 69 ans, retraité principal de collège ; Marie-Agnès Beauprey, 55 ans, assistante administrative ; Jean-Claude Guineaudeau, 57 ans, auteur d’édition technique ; Joséphine Touitou, 33 ans, auxiliaire de vie ; Gilles Bruand, 58 ans, expert-comptable ; Tatiana Hadassevitch, 44 ans, économiste ; René Le Cam, 82 ans, retraité marine, écrivain ; Charlotte Melman, 54 ans médecin ; Charles Becker, 56 ans, agent logistique ; Blandine Bachollet-Lionnet, 56 ans, architecte DLPG ; Thomas Richard De Soultrait, 46 ans, ouvrier BTP ; Françoise Debregas, 56 ans, retraitée éducation nationale ; Patrick David, 74 ans, retraité aéronautique ; Caroline Blanchard, 35 ans, assistante maternelle ; Baudouin Bachollet, 59 ans, cadre ; Gislaine Caignon-Leblanc, 71 ans, retraitée comptable ; Pierre Chadirac, 62 ans, médecin ; Christine Fercoq, 57 ans, assistante administrative ; Jean-Marie Paoletti, 72 ans retraité profession libérale.

Adresse de contact : ambitionnouvelle.sqp@gmail.com

Un accident grave s’est produit entre 6 poids lourds sur la N104 (©SDIS 91)

L’opération de secours et de déblayage a duré plus de 4 heures. Ce mercredi 26 février, plusieurs poids lourds se sont percutés sur la Francilienne dans le sens Melun-Sainte – Geneviève-des-Bois. 

Lire aussi : Grave accident sur la N104 : la circulation totalement coupée entre Bondoufle et Fleury-Mérogis

Le total des véhicules concernés est impressionnant. En tout, pas moins de six poids lourds ont été accidentés entre les commune de Bondoufle et de Fleury-Mérogis.

Sur les coups de 10h30 du matin, vingt pompiers, aidés par les forces de l’ordre, sont intervenus sur place pour porter secours aux différents chauffeurs. Quatre conducteurs sont ressortis indemnes de leurs véhicules. Un jeune conducteur de 29 ans a été légèrement blessé. 

Les pompiers ont dû désincarcéré l’un des chauffeurs (©SDIS 91)

Une victime en urgence absolue

Le plus gravement blessé est un homme de 47 ans. L’homme, d’origine polonaise, était coincé dans sa cabine, comprimée par le choc. Il a dû être désincarcéré par les pompiers. 

La victime a été transporté en état d’urgence absolu à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre.

L’accident a provoqué de nombreux bouchons (©Info trafic IDF)

Coupée à la circulation, la N104 a pu rouvrir sur les coups de 15 heures. Quelques instants après ce dramatique accident, plusieurs véhicules ont dû faire marche arrière et emprunter la sortie de Bondoufle pour pouvoir quitter l’axe. 

Les élèves de CM1/CM2 de l’école Saint-Jacques ont participé à l’enregistrement de l’émission de radio Fêtes des gosses. (©Ecole de Saint-Jacques)

L’animateur de France Bleu, Frédérik Romanuik, s’est rendu à l’école Saint-Jacques de Neufchâtel-en-Bray (Seine-Maritime) pour enregistrer l’émission « Fête des gosses ». À découvrir du 23 au 27 mars à 7 h 12 ou 17 h 20.

C’est dans la bonne humeur que s’est déroulée l’enregistrement. Les élèves ont été interrogés sur des expressions françaises et ont pu réagir librement et souvent humour !

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Ces jeunes CM1/CM2 ont ainsi découvert les secrets de l’enregistrement d’une émission de radio. Il y a eu cinq sessions de 15 minutes. Chacune d’entre elles ont ensuite été retravaillées pour donner lieu à 1.30 min à l’antenne. 

Les photos de cette journée d’enregistrement seront à découvrir lors des portes ouvertes de l’école le samedi 7 mars de 9 h à 12 h.

L’accident s’est produit mercredi matin. (©DR)

Un véhicule a effectué une sortie de route, mercredi 26 février 2020, à 8h40, à Beuvron-en-Auge (Calvados), vraisemblablement à cause de la grêle.

Légèrement blessée

Les sapeurs pompiers de Périers-en-Auge sont intervenus sur place, venant en aide à la conductrice.

A priori légèrement blessée, elle a été transportée au CHU de Caen.

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Le prévenu n’était pas présent lors de l’audience.

Depuis longtemps, la présence de ce voisin irascible perturbe tout le quartier à Ambenay (Eure). Le jugement de M. F. n’est, pour cette audience, qu’une seule nuit parmi tout ce qu’il fait subir aux locataires de l’immeuble d’à-côté. Son casier judiciaire en dit long sur ses mauvaises habitudes qu’ils disent dues aux excès éthyliques.

Une succession de violences

Agé de 45 ans, absent de l’audience, il a transmis aux juges son point de vue sur la situation.

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J’ai fait partir des voisins, avant. Ils me faisaient ch… Oui ! j’ai tiré dans la porte mais que avec mon pistolet. Je suis con mais prudent… que pour les embêter, que je fais des conneries… (sic)

La jeune femme, victime des agissements de la nuit du 22 au 23 mai 2019, est très émue à l’évocation de ces faits de violences avec arme. Arrivée avec son compagnon en mars précédant l’affaire, elle a dû déménager depuis car, hormis la procédure jugée ce jour, elle a eu à déplorer une suite de violences faites d’agression « au pied de biche » mais aussi des pneus crevés, par exemple. « Ce sera l’objet d’autres poursuites éventuelles », indique le président F. Doudet, revenant au dossier uniquement.

Déjà onze condamnations

Pendant cette soirée, M.F. a pris en photo le couple sortant d’un repas en famille. Puis il a bloqué leur véhicule, provoquant l’intervention des gendarmes qui connaissent bien le sujet : onze condamnations pour vols, port d’arme, mise en danger d’autrui et une précédente affaire avec armes (18 mois de prison en 2014).

Pourtant, dès le dos tourné, il s’est emparé d’un pistolet à plomb pour cribler un volet de l’immeuble. De retour, les gendarmes ont pu saisir l’arme, des munitions (pour un fusil) et une carabine 22 LR, ce malgré une interdiction prononcée en 2014.

Un an ferme pour le calmer

Marina M. est partie-civile pour avoir été contrainte de déménager en abandonnant les loyers réglés pour caution et le coût de ce déplacement du mobilier.

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Le procureur Antoine Barrat rappelle l’étendue des antécédents de l’absent ainsi que le danger de tirer avec une arme « répréhensible. Surtout si le voisin est chez lui. Le prévenu est parvenu à faire déménager ses victimes », remarque le magistrat requérant une peine mixte d’un an et demi de prison, comprenant six mois de sursis probatoire pendant deux ans avec beaucoup d’obligations.

Le tribunal suivra la proposition de cette peine mixte. Le condamné sera tenu de se faire soigner (en psychologie), d’indemniser la victime, de s’interdire tout contact avec la victime ou son voisinage, ne pas rôder dans les parages de sa nouvelle résidence. Il devra trouver une occupation professionnelle et régler un total de 2 485 euros (tous préjudices confondus) à la jeune femme qui, au passage, retrouve à sa porte les poubelles de son ancien tourmenteur. Mais ceci est une autre affaire et fera l’objet d’autres enquêtes, voire d’autres procédures. A suivre…